Noir Canada: pillage, corruption et criminalité en Afrique

MONTRÉAL, le 18 oct. 2011 /CNW Telbec/

"Au terme d'une lutte judiciaire qui aura duré trois ans et demi, les Éditions Écosociété sont parvenues à une entente hors cour avec l'une des parties adverses. Afin de mettre fin à la poursuite que Barrick Gold leur a intentée en avril 2008 pour un montant de 6 millions de dollars, et pour cette raison uniquement, les Éditions Écosociété cessent la publication du livre Noir Canada. "

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Les auteurs de Noir Canada n'ont sans doute rien fait de plus que le travail auquel on s'attend des penseurs et des chercheurs au sein de chaque collectivité. Derrière la poursuite dont ils sont l'objet, demeure une question fondamentale: peut-on encore être critique dans notre société? Le pouvoir (et l'argent) doit-il toujours l'emporter sur le droit de savoir, ou du moins sur le droit de s'interroger publiquement? Au-delà de ce que recouvre la notion d'atteinte à la réputation, c'est donc l'avenir de la pensée qui se jouera ici.
Pierre Noreau, « Le pouvoir…contre le savoir ? »,
Le Devoir, 10 décembre 2010

LIVRE désormais CENSURE à  télécharger et à diffuser largement:
http://www.congoforum.be/upldocs/EBOOK%20FRan%C3%A7ais%20Noir%20Canada%20Pillage%20corruption%20et%20criminalit%C3%A9%20en%20Afrique%20Al_.pdf  



"Qu'ont en commun la guerre en République démocratique du Congo, les REER et autres cotisations de fonds 
de retraite ?  Réponse : la Bourse de Toronto et un Noir 
Canada. Le Canada appuie politiquement et financièrement des sociétés minières et pétrolières canadiennes qui 
exploitent le sol africain, enregistrent des profits colossaux, principalement à la Bourse de Toronto, alors qu'elles 
se rendent coupables des pires abus en Afrique.
Les cas de pillage, de corruption et de crimes recensés 
dans ces pages font froid dans le dos : guerre sanglante 
dans la région des Grands Lacs africains largement attisée par ces compagnies qui financent et arment des seigneurs de guerre, mineurs enterrés vifs en Tanzanie, empoisonnement massif et « génocide involontaire » au Mali, 
expropriations brutales au Ghana, barrages hydroélectriques dévastateurs au Sénégal, privatisation sauvage du 
transport ferroviaire en Afrique de l'Ouest, sans tenir 
compte des impacts sur l'environnement et sur les équilibres sociaux..."

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