Oaxaca 4

L'alcool a arraché ma tête. J'ai rampé entre les vers oubliés des plus grands poètes sur le sol d'un bar incontrôlable. La musique a sonné toute la nuit. Les chants Zapotèques ont réveillé les yeux noirs des indiens endormis. Nous avons chanté, ensemble. Je me suis réveillée la vierge de Juquila autour du cou.


Comentarios

Entradas populares de este blog

La "collaboration horizontale"

Qui défend l'enfant queer?

Virginie Despentes contesta a Lionel Jospin y a los anti-matrimonio para todos