Coyolxahqui a pris la forme de Shiva

Coyolxauhqui, la déesse lune démembrée par son frère.


il va falloir prendre soin de soi au milieu du désert, des yeux horrifiés des rescapées. S'accrocher à la lumière sous les paupières, à Benedetti et aux salutations au soleil. Prendre la guitare par la gorge et la plume par la peau, ne rien lâcher à la tristesse de ce monde. Embrasser les vraies amitiés, les chérir comme l'air et avancer, soigner avec le chant et les belles paroles où la douleur a pris racine dans l'espérance.
©Emilie Mourgues


Habra que cuidarse en medio del desiero, de los ojos horrorizados de lxs sobrevivientes. Agarrarse a la luz de los parpados, a Benedetti y a los saludos al sol. Tomar la guitarra por la garganta, la pluma por la piel, no dejarle nada a la tristeza de este mundo. Besar las amistades verdaderas, quererlas como al aire y seguir caminando, sanar con el canto y las palabras donde el dolor se arraigo a la esperanza.

Shiva en colère danse sur l'ignorance.

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