Le soleil. Et la solitude qui tape à ma porte, qui me cherche comme le voilier cherche l'horizon.
La lumière derrière l'arbre
Photo du défund Salgado J'avoue. Je me suis faite avoir. Des heures sur facebook à scroller les conneries du monde entier au lieu de faire de la guitare et de la poésie. Faut dire que l'époque le veut bien. C'est la merde. On s'est fait précariser l'esprit et les godasses. En même temps on le savait qu'on allait prendre cher. Bon, bah, c'est fait. Je ferai pas de gamins dans ces conditions. C'est même pas par principe. C'est par évidence. Je me dis que toutes les époques ont eu leur lot de pourriture. Celle ci est musclée. Alors je vis avec ma belle et un super matou adorable que je chéris comme on chérit les étoiles. Ce qui est important aujourd'hui, c'est de finir cette bière sans être complètement ivre, écrire au petit Camille qui est devenu grand avec le départ de sa matriarche (heureusement, il s'agit de son arrière grand mère et pas d'ma pote Marie) et de profiter du temps libre précarisé. Parce que le temps libre, c'est to...
A vif de plus en plus, tout à la fois comblé et frustré,il y a un chemin que j'ai perdu, je ne sais plus lequel, noyé dans ma décision de ne pas souffrir et la nuit sait être lumineuse, il faut juste lâcher quelque chose qui nourrit la colère et le désespoir et la peur.
ResponderEliminarToi dans ton Mexique
ResponderEliminarmoi dans ma désespérance
tu gagnes aux dés