Écrire la beauté de ces jours. Leur tendresse, l'amour profond qui les habite. Les caresses. Aussi. Main dans la main, regarder la croisée des chemins. Sourire. Remercier dans toutes nos langues. Remercier. Avancer et n'avoir peur de rien. Respirer la lumière cristalline qui sort de nos entrailles. Embrasser. Embrasser si fort qu'on en oubli parfois de respirer. Les gestes anodins sont devenus des trésors, des merveilles. Les peurs s'échappent, elles se font la Belle. Le cœur grandi. Libre et amoureux.
La lumière derrière l'arbre
Photo du défund Salgado J'avoue. Je me suis faite avoir. Des heures sur facebook à scroller les conneries du monde entier au lieu de faire de la guitare et de la poésie. Faut dire que l'époque le veut bien. C'est la merde. On s'est fait précariser l'esprit et les godasses. En même temps on le savait qu'on allait prendre cher. Bon, bah, c'est fait. Je ferai pas de gamins dans ces conditions. C'est même pas par principe. C'est par évidence. Je me dis que toutes les époques ont eu leur lot de pourriture. Celle ci est musclée. Alors je vis avec ma belle et un super matou adorable que je chéris comme on chérit les étoiles. Ce qui est important aujourd'hui, c'est de finir cette bière sans être complètement ivre, écrire au petit Camille qui est devenu grand avec le départ de sa matriarche (heureusement, il s'agit de son arrière grand mère et pas d'ma pote Marie) et de profiter du temps libre précarisé. Parce que le temps libre, c'est to...
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