" Un jour, je te parlerai de ma vie. Ce sera à l’aube, face à une immensité d’eau, de vent, de sable ou de nuit. L’horizon, incertain de sa chance, se sera retroussé les manches. « Perdu pour perdu, je vais creuser, là, où je suis, puisqu’on m’a dit et redit qu’à l’endroit où sont tes pieds, dessous, il y a une source, forcément. Il suffit de creuser. Et je creuse. Dans le noir. Je creuse, au plus profond des ténèbres, je progresse non sans mal, longtemps, longtemps. A présent, je n’ai même plus peur. Pas pour autant résigné, non. Mon seul souci est de creuser, creuser encore. Et soudain, la voici, au sortir d’un goulet aveugle, où je manque m’étrangler, la voici, la grande lumière, déchirante, aveuglante… les couleurs s’entremêlent, se chevauchent, se pénètrent, se fécondent, me mettent au monde, je retrouve, je reconnais, j’y suis enfin, et là-haut soudain s’engendre une sorte de fibule immense, démesurée qui reproduit, comme à son corps défendant, l’architecture immanquable des lieux sacrés du culte que je n’aurais jamais du cesser de me rendre à moi-même… » Ainsi parla l’horizon avant de reprendre sa place, droit devant. Un jour, je te parlerai de ma vie."
Agradecimientos
El pájaro de metal me vendra a recoger mañana... ya no tengo lana, tengo una cita importante en Madrid y un compromiso con la academía de Lyon y con mi misma. Ya ven, tengo argumentos! Como decirles... como lxs quiero... Que viaje màs bonito, màs hondo, màs màgico... No fue un viaje tàn común... mi mejor comida fue un ceviche peruano, (gracias Jenny) la gente la màs chingona que encontré fue chilanga, la fiesta la màs divertida que vivi fue en Tepito, las mujeres las màs depravadas con las cuales me cruzé fuerón argentinas... Vamos a hacer así, a cada uno le escribo algo, como una cartita de despedida. ¡Es la primera vez de mi vida que me despido guey! Claudia, Ya sabes, las flores somos nosotras ,-). Nos quedan tantas cosas pendientes... el altar a Violencia Rivas , un viaje a Colombia y Brasil, unas clases de tango, unas noches de depravación intensas... ya sabes, ¡A la chingada! Sofía, Como tu y yo somos incapaces de tomar cita, nos vemos en cualquier montaña a ver que
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