Lettre à L.
"Comme quoi les blessures occasionnent souvent de belles aventures...
Ici je vis dans l'opulence, j'ai un super taf où on m'envoie faire
visiter Marseille aux touristes, on m'a donné une maison de deux
étages alors chaque somme je change de lit. C'est la grande vie.
L'équipe est super et moi, je plane.
J’atterris doucement et me sens déjà repartir, je nage, il fait très,
trop chaud.
Les volets en bois blancs permettent la fraicheur sur le sol carrelé
de cette grande maison, des plantes y poussent bien, les chats et les
fourmis se régalent!
Je te l'ai dit, je plane.
Les gens sourient et la musique les rend beaux, la nuit, les
lampadaires d'edf gdf ne me permettent pas de voir le ciel mais la
lune, elle, crève tous les écrans des pays riches.
je t'embrasse"
Ici je vis dans l'opulence, j'ai un super taf où on m'envoie faire
visiter Marseille aux touristes, on m'a donné une maison de deux
étages alors chaque somme je change de lit. C'est la grande vie.
L'équipe est super et moi, je plane.
J’atterris doucement et me sens déjà repartir, je nage, il fait très,
trop chaud.
Les volets en bois blancs permettent la fraicheur sur le sol carrelé
de cette grande maison, des plantes y poussent bien, les chats et les
fourmis se régalent!
Je te l'ai dit, je plane.
Les gens sourient et la musique les rend beaux, la nuit, les
lampadaires d'edf gdf ne me permettent pas de voir le ciel mais la
lune, elle, crève tous les écrans des pays riches.
je t'embrasse"
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