Quelle douleur la notre ce matin en ouvrant
internet. Quelle douleur la nouvelle. Elle est tombée comme le glas sur nos
nuques d'activistes, de jeunes femmes en attente. Sur nos deux nuques
d'humaines.
“Le
parlement européen soutien le président mexicain et ne suspendra pas l'accord entre l'UE et le Mexique¨, cet assassin qui a tué sa
femme, qui a ordonné le viol de 46 femmes a Atenco en 2006 qui luttaient pour
garder leurs terres. Pena Nieto qui a reçu la légion d'honneur en France après
avoir rendu florence cassez à la
France, cette criminelle qui a torturé et terrorisé ses
victimes réfugiées maintenant aux USA.
Le seul espoir qu'avait le Mexique était
qu'on connaisse l'horreur digne de l’holocauste qui sévit las bas depuis 2006
et que la communauté internationale exige qu'on respecte les Droits Humains. La
guerre a jeté des milliers de civils dans des fosses communes jonchant les
routes de la drogue se rendant aux Etats Unis.
Le massacre des étudiants a touché a un
symbole qui a ému le monde entier. Les migrants et les femmes tout le monde
s'en foutait, mais avec les étudiants on avait une chance de rendre visible l’innommable.
Quelle douleur le monde. Ces puissants, ces
fascistes, ces faux socialistes et ces mauvais communistes. Quelle douleur
l'impuissance et les blessures ouvertes de ceux, de celles que j'aime. Quelle
douleur toutes ces mères qui ne retrouveront jamais leurs enfants. Quelle
douleur les mots qui commencent a peine a exister pour décrire l’innommable.
Quelle douleur l'absence de conscience, de compassion, l'absence d'espoir
proche d-un changement humain, profond, qui arrêtera de détruire la vie
partout ou elle fleuri. Le Mexique saignera encore puis disparaitra au mains
des multinationales gringas, canadiennes, européennes et des autres. Les punks continuerons de faire la révolution
en se poudrant le nez, quels imbéciles.
Mes amis mourront encore aujourd'hui et
demain. Personne ne viendra les sauver. Ni Castro, ni Holande, ni Obama, ni
Melanchon, ni Madero... que dieu les maudisse.
Et moi ce matin, je prends sa main dans la
mienne et j'arrose les fleurs.
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